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(Pisa 1922 - Caen 2010)
En 1948-49 il réalise une série de peintures signalétique: «Les Cris» employant des lettres et des chiffres en pochoir. Pendant une courte période, il fait partie du mouvement milanais le MAC, avant de s'engager dans une expression lyrique, où l'emploi de la tache est largement utilisé et qui sera ensuite nommée «Peinture Nucléaire». Ces œuvres sont présentées en 1951 à la Galerie Numero de Florence et représentent la première manifestation italienne d'art informel.1955-_nel_suo_studio_sito
La même année, Bertini se fixe à Paris et continue ses recherches dans cette tendance. En mai 1952 a lieu sa première exposition personnelle à Paris (Galerie Arnaud). Après un voyage d'étude en Espagne, en rentrant à Paris, Bertini passe à la Galerie René Drouin et, en 1956, fait partie du groupe «Espaces imaginaires» proposé par Restany. Á partir de 1954, il participe régulièrement au Salon de Mai. Il accomplit de nombreux voyages en Europe en effectuant des expositions personnelles à Bruxelles, Copenhagen, Schidam, Amsterdam. En 1960, il fait son premier séjour en Amérique. Il travaille sous contrat avec la Gres Gallery de Chicago, mais il réside à New York. En rentrant à Paris, il abandonne l'informel pour se rapprocher du «Nouveau Réalisme». En 1961, a lieu sa première exposition rétrospective à la Konsthalle de Lund (Suède). Cette exposition sera ensuite répétée au Palais des Beaux Arts de Bruxelles.
C'est en 1962 qu'il présente à la Galerie J. de Paris le «Pays Réel» en proposant des emblèmes officiels détournés que Restany appelle des «Bertinisations». Cette exposition sera ensuite censurée à Venise. Après un long séjour à Tanger, en rentrant à Paris, de l'appropriation des emblèmes, il passe au report photographique et ensuite à la toile émulsionnée. En 1965, il signe le premier manifeste du Mec-art, voie qu'il poursuit dans le temps. La même année, il expose à Stockholm,  Amsterdm, Bruxelles et Milan. En 1968, il est invité, avec une salle personnelle, à la Biennale de Venise, dont il devient commissaire en 1970. Il participe aussi à la «Figuration Narrative» et «Le monde en question» manifestations organisées par Gérard Gassiot-Talabot. Pendant ces années, il fait des voyages au Sénégal et en Amérique Latine en séjournant particulièrement à Buenos Aires où il expose au Cayc. De retour, il se fixe à nouveau à Milan où il fonde entre 1971 et 1972 deux revues de poésie visuelle: "Mec" et  "Lotta poetica". En 1972, il fait un séjour à Bratislava où, avec son ami Alex Mlynarcik, il propose «L'Art Anticonceptionnel». Par la suite, il rentre à nouveau à Paris où en 1984 lui esst consacré une rétrospective au "Centre National des Arts Plastiques"; l'année suivante, il est nommé Chevalier dans l'Ordre des Arts et des Lettres. C'est en 1988 et 1989, qu'il voyage en Orient en exposant aux Musées de Séoul et de Taiwan. En 1991, au moment de la guerre du golfe, il réalise un cycle d'œuvres intitulé «Pour ne pas oublier». En 1992, il propose à la Fiac des œuvres sur Antonin Artaud. Mais c'est en 1997 qu'il lance le manifeste de la «Retrogarde », une revisitation des principes du Mec-art.
Par ailleurs, il est représenté par plusieurs galeries européennes et il expose régulièrement dans différentes Foires d'art.